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Voler

FLYING IN A GLIDER
IN ISSOUDUN

The glider, flight in its pure state

Un vol pur

A PURE FLIGHT,
WITHOUT ENGINE

Noiseless, like a bird, for a feeling of total freedom. The ability to glide for hundreds of kilometers, using only natural energy linked to the weather.

Faire un vol découverte

Une pratique

A PURE FLIGHT,
WITHOUT ENGINE

Noiseless, like a bird, for a feeling of total freedom. The ability to glide for hundreds of kilometers, using only natural energy linked to the weather.

Le saviez-vous ?

3009 km

C'est la distance parcourue par Klaus Ohlmann, célèbre vélivole allemand, en un seul vol en Argentine au-dessus de la Cordillère des Andes ! Pour l'anecdote, notre planeur Discus Kilo Oscar lui appartenait, d'où ses initiales sur son immatriculation "KO" !

Triangle 300km

Record de vitesse sur circuit de 300 kilomètres en classe 15 mètres, réalisé le 4 août 1990 par Pascal Lefèvre sur planeur Ventus B à 131,17km/h de moyenne. Un record toujours imbattu depuis plus de 30 ans, réalisé au départ de l'aéroclub d'Issoudun.

280km/h

C'est la vitesse indiquée que peuvent atteindre les plus rapides des planeurs, comparable aux vitesses de Formule 1 actuelles.

Comment vole
un planeur ?

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Le décollage

Le vol en planeur commence par un moment unique : le décollage, tiré par un avion remorqueur. Imaginez-vous confortablement installé dans le cockpit, prêt à vous envoler sans bruit, porté par l’air.

Sur la piste, le planeur est attaché à un avion remorqueur grâce à un long câble. Quand tout est prêt, l’avion met les gaz, accélère et entraîne le planeur derrière lui. Très vite, vous sentez l’appareil quitter le sol en douceur. Vous êtes déjà en train de voler ! En effet, grâce à sa légèreté, le planeur quitte le sol en premier.

Pendant quelques minutes, l’avion remorqueur vous emmène à l’altitude idéale, généralement à 500 mètres. Puis, d’un simple geste, le pilote détache le câble… et le silence s’installe. Vous voilà libre comme un oiseau, porté uniquement par les courants d’air.

Ci-contre : notre remorqueur "BZ" en plein travail. 

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La première ascendance. Mission : accrocher

Le câble vient d’être largué. L’avion remorqueur s’éloigne… et vous voilà seul dans le ciel, en totale liberté. Le silence est saisissant, presque magique. Pourtant, l’aventure ne fait que commencer. Le planeur glisse dans l’air, à la recherche de sa première ascendance : un courant d’air chaud qui monte comme une bulle invisible. Ces ascendances, créées par le soleil qui chauffe le sol, sont la clé pour rester en vol plus longtemps… et même monter encore plus haut. Parfois, jusqu'à 3000 mètres au-dessus d'Issoudun.

Une fois dans l'ascendance, aussi appelée "pompe" par les vélivoles, le pilote incline doucement le planeur et commence à tourner en spirales, comme le font les oiseaux. Petit à petit, le planeur gagne alors de l’altitude, porté par cette énergie naturelle, mais aussi totalement gratuite. Fréquemment en été, les conditions permettent d'atteindre une montée de plus de 5 mètres par seconde.

C’est dans cette première ascendance que la magie opère : on dit que l'on "accroche" lorsque le pilote trouve sa première ascendance pour monter. 

Ci-contre : plusieurs planeurs dans une ascendance pour gagner en altitude. À noter que ces colonnes d'air chaud atteignent généralement les 1000m de diamètre !

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Le vol, sur des centaines de kilomètres

Sans nul doute la meilleure des parties, tant les possibilités sont infinies. Une fois en altitude, le planeur ne se contente pas de rester sur place. Il part à l’aventure, en suivant un circuit aérien, une sorte de trajet invisible dessiné dans le ciel. Chaque vol devient alors un voyage, une exploration guidée par les nuages et les courants d’air.

Le pilote observe le terrain, lit le ciel comme une carte vivante. Il enchaîne les ascendances pour rester en l’air, plane d’un point à l’autre avec précision. Pas de moteur, pas de bruit, juste la finesse de son pilotage et la puissance de la nature.

C’est un jeu d’équilibre entre performance et poésie. Chaque virage, chaque choix de trajectoire est un dialogue avec l’atmosphère. On en oublie le temps. On se sent porté, libre, en lien direct avec le monde d’en haut.

Le vol en circuit, c’est la version nomade du vol en planeur. Un moment suspendu où l’on découvre que le ciel est bien plus qu’un décor : c’est un terrain d’aventure.

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L'atterrissage, conclusion du vol

Après le vol, parfois très long, vient le moment de rentrer. Le pilote dirige alors son planeur vers l’aérodrome, tout en restant attentif à l’environnement et à son altitude. 

À l’approche de l’aérodrome, le pilote entre dans ce qu’on appelle le circuit d’atterrissage : une trajectoire précise en plusieurs étapes (vent arrière, base, finale) qui permet de rejoindre la piste de façon stable et sécurisée. Il gère finement sa descente, utilise les aérofreins pour ajuster sa vitesse et son plan de vol, puis touche le sol en douceur, souvent dans un calme absolu. 

Vient ensuite un moment emblématique à la fin d'une journée de vol : après avoir nettoyé et rangé les planeurs, les pilotes se retrouvent au club-house / espace bar de l'aéroclub pour partager leurs expériences du jour. Un débrief et un récit d'aventures en toute convivialité, indispensable à la vie du club.

Découvrez la sensation
de liberté absolue

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